Retour pour les années 80s, prête pour le revival Eighties. Cette décennie est sans aucun doute la plus déjantée du XXe siècle où s’exhibaient des femmes à l’apparence d’une tornade.
ONSKAD 80’, un enivrant parfum de scandale. 80’, un état d’esprit, à la sensualité langoureuse et voluptueuse pour une affirmation d’une féminité sans concession. Résolue à tomber dans la folie?
Joan Collins, l’inoubliable actrice de la série Dynastie ; Sharon Stone, la sulfureuse et tant d’autres qui nous rendent mélancoliques de cette génération hors du temps.
ONSKAD 80’ est le parfum qui donne l’envie de ressusciter les idoles de cette époque extraordinaire, qui voit naître la businesswoman avec des épaulettes et une taille ceinturée.
Une décennie où les couleurs, les imprimés outranciers, les maquillages, les bijoux oversize, le volume capillaire, le lycra et les talons aiguilles ne font pas dans la discrétion.
Avec ses volumes surdimensionnés et ses silhouettes à l’audace stylistique enhardit, une époque propice à l’excentricité, à une certaine insouciance continue à nous fasciner.
C’est la quête du plaisir avant tout, des nuits endiablées où seul l’instant compte.
ONSKAD 80’ c’est un retour sur l’histoire de la nightlife Parisienne des lieux les plus mythiques : Les Bains Douches, Chez Castel, Chez Régine, le Palace. La fondatrice passe aux aveux en insufflant qu’elle a eu la grande faveur d’être conviée aux soirées les plus grandioses les unes des autres.
« Côtoyer toute la Jet Set Parisienne et internationale, créateurs de mode, comédiens, artistes de la nuit comme Claude Challe est un souvenir qui restera ancré dans ma mémoire ». Une de mes confessions les plus cocasses déroulées durant les années 90s qui suivaient le courant des 80s, c’est d’avoir passé une soirée entre amis Avenue Foch à Paris sans savoir chez qui j’allais. Clou du spectacle, j’atterris dans l’appartement de Prince. Je me rappelle seulement d’avoir été étonnée de voir autant de couleur rose au sol, assez kitsch, avec des portraits de lui de partout sur les murs. Incroyable mais vrai, une proche de mon prétendant, devenu mon époux était la personne qui gérait ses tournées mondiales. Par la suite, elle est devenue la complice de cette bête de scène ». Notre parfum dédié aux années Fast est une rétrospective si réaliste que l’on ressent l’hyper abondance du dress code vestimentaire à en déstabiliser plus d’un.
ONSKAD 80’, un élixir pailleté d’or et d’argent, de strass, rien qu’à le sentir de proche ou de loin, il fait monter la température.
Qui sait, son sillage ne laissera aucun homme insensible avec son aura olfactif de mondaine fatale. À la fois torride, audacieux, pulpeux, déconcertant, au même titre que le fruit défendu.
S’il était
Un imprimé … Les rayures black & white
Une couleur… Le métal, des splashs fluo.
Une oeuvre… White Shirts de Peter Lindbergh.
Un artiste… Andrée Putman.Un lieu… Los Angeles, la ville qui incarne le rêve américain.
Une matière… Le lycra qui colle à la peau.
Des créateurs de mode… Escada, Claude Montana.
ONSKAD 80’
En filmographie… Flash Dance, Dangereusement Vôtre, 9 Semaines 1/2, Working Girl.
En ambiance sonore… Tainted Love de Soft Cell, Total Eclipse of the heart de Bonnie Tyler, Everything Counts de Depeche Mode, Fade to Grey de Visage, In The Heat Of The Night de Sandra.
La vision du parfum ONSKAD 80’ par notre parfumeur.
Le mélange des styles d’une femme affirmée et hyper coloré. La working Woman aux épaulettes. Un lycra fluorescent qui ne ment pas sur ses formes.
La provocation et l’opulence de paupières fardées et nacrées, des chevelures volumineuses, des bijoux dans la démesure.
80’ un vrai floral narcotique, autour d’un oeillet aux accents de datura, un parfum envoûtant d’une femme fatale et hypnotique, overdosée d’héliotrope.
Une harmonie à la fois nacrée, métallique, de nouvelles matières pour une femme singulière.
Les ressentis olfactifs de la presse.
J’aime énormément au premier snif. Un aspect gourmand parfaitement équilibré sans tomber dans l’appétence ni la gourmandise. L’oeillet survient d’une manière assez vive, c’est exactement les années 80. Les notes florales sont marquées. Je pense à Jean Louis Sherrer, un parfum également vertical malgré les facettes musquées. Sur peau, il devient magique, je n’ai aucun mot pour décrire la sensation éprouvée.
En fait, je pense à Kim Basinger, c’est tout à fait elle. Le côté « séductrice » et « ravageuse ». Il y a cette douceur féminine qui rassure les hommes comme les femmes.
Expression olfactive
La succulente mandarine sait nous conquérir avec ses contours généreux et pulpeux.
Le coeur ambré, un peu rebelle, fait émerger à la nuit tombée l’ylang ylang, presque insaisissable.
L’oeillet épicé, notre fleur vedette, nous envoûte, plus que jamais sulfureux.
L’une contre l’autre, l’héliotropine enlace langoureusement le datura, érotiquement subtil.
Un flashback olfactif d’une telle réalité qu’il en devient déconcertant, l’impossible devient possible.
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