Quintessence du chic à la française, l’Eau de Parfum vaporisée tel un extrait offre une tenue absolument remarquable et un exceptionnel pouvoir de diffusion. Un halo parfumé digne d’une robe Haute-Couture de grands couturiers.

Il n’y a que ONSKAD 50’.
Elle s’enveloppa d’un nuage et partit pour une destination altière. 50’, la voie la plus directe pour toutes les élégances.
Pour oser mettre entre les mains d’une femme, cette arme attirante et évasive, ce parfum complice de toutes les aspirations.
« Avec ONSKAD 50, ce Chypre que j’ai brûlé d’envie, luxuriant, poignant est l’instigateur de l’alliance au style New - Look parisien avec la muse Hitchcockienne, Grace Kelly ».
Aucune d’entre nous n’aura jamais la chance de se blottir avec une légende hollywoodienne. ONSKAD 50’ est bien là pour faire semblant.
Un parfum que l’on a désiré d’étreindre comme un pacte d’amour.
Paris, la Côte d’Azur, la Côte Ouest Américaine, que de beaux lieux où l’Art de Vivre est marqué par la sophistication.
La silhouette élancée aux teintes de camaïeu jusqu’au gris flanelle résonne comme une ode à la féminité maîtrisée.
Qu’il s’agisse d’actrice Américaine Hollywoodienne ou d’une Parisienne à l’attitude bourgeoise avec son maintien légitime, on se laisserait envoûter sans compromis.
Un parfum testament, d’un classicisme impeccable, un parfum qui s’offrirait aux femmes qui ont compté, la célébration d’une féminité éternelle.
Chic à l’extrême, la bienséance est au rendez-vous. L’impertinence d’un style intemporel, porté sur soi, il consent à faire bonne impression.
Sur son passage… et une envie folle de se rapprocher d’elle, la côtoyer dans son intimité.

S’il était
Un imprimé … Pied de poule.
Une couleur… Gris ultime.
Une oeuvre architecturale… Stahl House de Pierre Koenig.
Un artiste… Lionel Kazan, photographe de mode.
Un lieu… La Californie ou bien alors la terrasse du Café Flore à Saint Germain- des- Prés.
Une matière… Une soie délicate.
Un créateur de mode… Jacques Fath ou Balenciaga.
ONSKAD 50’
En filmographie… Casino Royal, La main au collet, Diamant sur canapé, Funny Face et Dieu créa la femme.
En ambiance sonore… Cry me a river de Julie London, Beginning to blue de Still Corners, Summertime d’Ella Fitzgerald, The look of Love de Diana Krall.

La vision du parfum ONSKAD 50’ par notre parfumeur.

50’ exprime le classique et l’élégance d’un style américain de bon goût incarné par Grace Kelly, mais aussi l’allure impeccable de la perfection domestique féminine de l’après - guerre.
Une élégance Chyprée florale lumineuse au sillage musqué propre, presque parfait, assombri de matières premières humides et boisées franches. Un Chypre glamour rétro tiré à quatre épingles construit autour d’une rose nuancée de textures taffetas soyeuses.

Les ressentis olfactifs de la presse

Au premier jet, je vois les dessins de Balenciaga, de Givenchy, d’YSL au début de sa carrière, de Dior aussi.
C’est la femme française des années 50, avant la libération totale des codes. Très belle verdeur florale, la structure chypre est évidente à l’odorat.
L’image d’une femme parfaite, lisse, avec un collier de perles, tout est en place, rien ne dépasse, probablement un chignon. Style Victoire, la mannequin de Dior.
Très régalien, très vertical. Très parfum de créateurs iconiques des années 1950.
À ma grande surprise, je suis épatée par sa longévité jusqu’au lendemain.

Expression olfactive

Une projection vive d’agrumes insolents s’allie en toute complicité à une explosion d’épices illuminant la première envolée.
Un bouquet de roses autant introverti qu’un foulard de satin qui s’épanouit sur un délicat manteau musqué.
Un effet très nude, redondant, fusionnant avec prestance au sublime ylang ylang légèrement débridé.
Cette opulence florale se comporte en héroïne, laissant le patchouli ouvrir le bal.
Terriblement classieux, sexy avec une grâce indéfinissable.

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