Un revival assumé des années 90 avec ce parfum qui ne s’excusera jamais d’exister.
90’, c’est un sillage qui rend fou les hommes.
Le voilà : il s’imprègne sur votre peau, vos vêtements, votre chevelure.
Tellement présent qu’il n’y a jamais besoin de douter, il est là, et bien là.
Quand se parfumer devient une obsession,
Langoureux, sensuel, mais toujours instinctif.
Sans exagération du sexy
90’, c’est une chorale magnifique, qui fredonne en boucle Too Funky de George Michael.
Juste assez pour faire vibrer l’ambroxan, laisser monter le cashmeran et faire éclore le jasmin en pleine lumière.
Ce parfum, c’est un effeuillage burlesque.
Tout est dans l’art de suggérer, jamais de tout dévoiler.
Le mot d’ordre ? Sexy, sexy, sexy — sept jours sur sept.
Imaginez : vous êtes Linda, indomptable et sublime.
Cindy, férocement américaine.
Claudia, magnétique et sculpturale.
Carla, élégance à la française, regard déterminé.
Naomi, puissance brute.
Helena, douceur solaire.
Eva, mystère incandescent.
Vous êtes ce collectif de puissance, celui qui change les règles.
Vous prenez le contrôle de votre image.
Vous incarnez un nouveau féminin :
visible, influent, désiré, conquérant.
Comme si vous étiez à la porte d’une nouvelle ère, celle où les femmes mènent, rayonnent, imposent leur tempo.
90’, c’est un phénomène olfactif.
Une esthétique forte : des volumes impeccables, des matières d’élite, qui composent une allure ravageuse et éperdument intemporelle.
Comme un style sans effort, qui hisse immédiatement au rang d’icône.
Un parfum opulent, luxueux, structuré.
Son architecture dit :
« Me voici, impeccablement vêtue d’une silhouette féminine. »
Prenez garde…
vous pourriez ne jamais vous en libérer.
Comment le porter ? On le pose sur toutes les zones creuses à la base du cou, creux de la poitrine et la taille, derrière les oreilles pour qu’il surgisse, comme par surprise, à chaque détour. Pour en saisir toute sa sincérité et mettre le monde à vos pieds.
S’il était
Un accessoire … Le Wonderbra
Une couleur … Le nude
Un artiste… Peter Lindbergh, photographe de mode
Un endroit… Le Crazy Horse à Paris
Une matière…Le Mesh / Le résille
Des créateurs de mode… Gianni Versace, Jean Paul Gaultier, Thierry Mugler, Helmut Lang, Jil Sander.
Pièces cultes mode… La robe noire de vengeance de Lady Diana. La robe blanche de Sharon Stone dans Basic Instinct. Le corset-soutien-gorge conique en satin rose de Madonna, conçu par Jean Paul Gaultier. La naked dress de Sarah Jessica Parker dans Sex and the City. Le jeans taille haute de Cindy Crawford dans la célèbre publicité Pepsi.
ONSKAD 90’
En filmographie… Sex And The City, Cinquante Nuances de Grey, Eyes Wide Shut, Pretty Woman
En ambiance sonore… Vogue de Madonna, Too Funky de George Michael, Around The World de Daft Punk.

La vision du parfum ONSKAD 90’ par notre parfumeur.
90’ avance avec grâce et assurance, comme un top model en pleine lumière. Le parfum s’ouvre sur un bouquet en pleine lumière et sur un bouquet floral voluptueux, à la féminité éclatante : Ylang ylang, fleur d’oranger… mais floutés, presque insaisissables. Autour, des bois brûlants, des épices en tension, et ce souffle audacieux, ce trop-plein volontaire, comme une ode à cette féminité des 90s : libre, excessive, irrésistible.
Expression olfactive
Un sillage vertical, une tension presque cinématographique.
À la première pulvérisation, on l’imagine sage.
Une floralité limpide, maîtrisée, presque docile.
Le jasmin s’y déploie avec une opulence moderne — aussi captivant qu’une scène coupée de Fifty Shades of Grey.
Et pourtant, la surprise est immédiate.
La fleur d’oranger jaillit, solaire, effervescente, comme une héroïne en robe blanche qui décide de ne plus jouer le second rôle.
Elle flirte, elle sourit, elle désarme.
Puis, sans préavis, surgissent les épices : à la fois glacées et incandescentes, elles font irruption avec aplomb, sans jamais étouffer la partition florale, mais en lui insufflant du panache.
La vérité : sa structure est inédite, unique
Elle est tout sauf prévisible, et ne se laisse jamais réduire à un joli fond de peau.
Son message est clair : elle annonce, sans ciller, un avenir incandescent.
Puis apparaît le cèdre de Virginie, comme un contrepoint structurel, presque architectural.
Il se pose avec droiture, nervosité boisée, et cette autorité discrète qui signe les grandes silhouettes.
Mais l’instant de bascule vient avec le cashmeran.
Velouté, enveloppant, à la fois propre et charnel, il laisse flotter une impression de draps froissés après une nuit sans sommeil.
Il murmure dans un souffle : “Oui… oui… oui…” et derrière lui, on croit deviner une femme nue, ou presque, portant pour seul habit l’intensité de son parfum.
Et cette verticalité, si rare aujourd’hui, s’affirme.
Elle s’étire, s’élève — et soudain, la pêche.
Une essence précieuse, texturée, trouble. Un fruit défendu, presque érotique.
Une caresse juteuse au bord du scandale.
En fond, le santal —noble, lifté, structuré en tension avec une épice effrontée,
qui laisse sur les lèvres ce goût exact de ce qu’on n’ose pas toujours dire.
Mais qu’on rêve de ressentir.

Notre prouesse
Semer le trouble. C’est le pari de ce nouveau parfum.
Plus inédit, plus original, tellement imprévisible — et surtout, jamais senti sur quelqu’un.
Cette nouvelle prouesse olfactive résume à elle seule l’esprit des années 90.
Une complexité faramineuse pour faire ressentir ce qu’était vraiment la vibe de cette décennie.
Mettre en flacon une époque où croire en soi devenait un mantra, pas juste un rêve.
Faire en sorte qu’on y sente le culte du style, la puissance de l’attitude, et la mémoire d’un temps où tout semblait encore possible.
Et aujourd’hui ?
Qu’en serait-il ?
Peut-on encore croire qu’on peut tout recommencer ?
Lui inculquer l’optimisme — voilà le défi de ce parfum. Pas une mince affaire.
Un mot qui résonne fort pour une génération qui n’a pas connu les années 90, mais qui les fantasme.
Pour elle, c’est un âge d’or.
Une époque de diversité absolue : le clubbing, le streetwear, le grunge, le glamour incandescent des supermodels, le minimalisme pointu, et cette variété des courants musicaux qui rendait tout possible.
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